Bonne nouvelle pour tous les fans de photographie chill et de gameplay feel-good : Toem 2 déboule et c’est pas juste une extension fainéante du premier. Le studio Something We Made a pondu une suite qui claque, plus rapide, plus dense, plus fun. Cette fois, pas moyen de lâcher l’appareil photo aussi facilement.
Une formule toujours aussi cool, mais plus généreuse
Dans Toem premier du nom, on avait déjà le smile collé au visage en enchaînant les clichés façon touriste bienveillant. Le deuxième opus reprend cette base zen où on résout les petits soucis du monde avec notre appareil photo magique, le tout contre quelques tampons. Sauf qu’ici, ça va plus vite, c’est plus varié, avec des récompenses toutes les deux minutes. Addiction garantie.
Le jeu garde sa boucle principale, à savoir photographier des éléments spécifiques pour valider des quêtes, mais la vraie différence vient de son rythme soutenu. C’est un peu comme passer d’un documentaire Arte à une série Netflix : ça s’enchaîne vite, et on a envie de tout binge-jouer. Et petit bonus qui change tout : on peut souvent valider plusieurs missions d’un coup, façon MMO. Le cerveau adore.

Une DA encore plus stylée et vivante
Côté visuels, Toem 2 passe à la vitesse supérieure. Le charme monochrome est toujours là, mais le monde gagne en profondeur avec un faux look 3D plutôt craquant. Les environnements respirent la vie : les rayons du soleil, les feuillages qui frémissent, les petits détails qui s’animent… Tout ça rend l’exploration bien plus immersive.
Les objets du décor sont maintenant plus tactiles et on a l’impression que chaque recoin cache un secret prêt à se faire capturer sur pellicule. C’est simple, on a envie de zoomer partout en priant pour tomber sur un PNJ chelou ou un easter egg planqué.
Nouveaux outils, nouvelles possibilités
La grosse nouveauté gameplay, c’est l’introduction d’outils en plus de l’appareil photo. Cette fois, on dégote un marteau et des ciseaux qui ne peuvent s’utiliser que quand on regarde à travers l’objectif. Dit comme ça, c’est chelou, mais en jeu, ça crée des situations assez cools où il faut, par exemple :
- Casser un mur invisible
- Découper un élément bloquant un passage
- Activer un mécanisme masqué
Résultat : on a droit à plus de puzzles, plus d’interactions dans les décors, et surtout plus de zones secrètes à dénicher. Toem 2 pousse vraiment le délire exploration à fond.
Un monde plus libre à explorer
Contrairement au premier épisode un poil linéaire, Toem 2 nous lâche très vite dans une carte ouverte pleine de chemins, d’échelles, de trampolines et de bifurcations cachées. C’est open-bar pour les curieux. Tu veux suivre les quêtes principales ? Libre à toi. Tu préfères traquer tous les coins paumés à l’ouest juste parce qu’un chat t’a lancé un regard suspect ? Let’s go.
La liberté est totale. Et comme chaque détour est potentiellement une nouvelle mission, un personnage zinzin ou une récompense sympa, l’exploration devient ultra gratifiante. Un peu à la manière des bons vieux collectathons à la Banjo-Kazooie ou Super Mario Odyssey.
Un enchaînement de micro-récompenses bien senti
Ce qui rend le jeu aussi difficile à lâcher, c’est ce flux constant de petites victoires. Tu résous trois quêtes sans t’en rendre compte, tu retournes voir les donneurs, et boum : pluie de tampons, nouvelles zones débloquées, et éventuels goodies dans ton inventaire. C’est fluide, satisfaisant et totalement OP pour doper ta dopamine.
L’équipe derrière le jeu a clairement compris que le joueur moderne adore qu’on lui dise “bien joué” toutes les 30 secondes. Le tout sans jamais être lourd ou artificiel. C’est du pur game design bien dosé.
Le glow-up parfait pour une licence déjà attachante
Toem 2, c’est l’exemple parfait de la suite qui fait tout mieux. Plus beau, plus riche, plus vivant, plus engageant… et pourtant toujours aussi accessible. Le jeu garde ce ton cosy ultra feel-good mais y ajoute cette petite couche de récompenses et de surprises constantes qui le rendent ultra dur à poser.
Bref, si vous aviez aimé le premier pour son ambiance décalée et son gameplay unique, celui-ci va vous faire craquer encore plus vite qu’un streamer en boucle sur son loot shiny. Press F pour respecter la montée en gamme.


