Plongeon directe dans le lore torturé d’Elden Ring Nightreign, et plus précisément dans l’histoire de Revenant, un personnage aussi maudit que précieux en expé. À travers trois grandes quêtes, ou Remembrances, on explore ses cicatrices, on affronte des boss bien vénères et on loot des reliques qui transforment Revenant en MVP de l’ombre.
Revenant : une storyline digne d’un Dark Souls dans l’âme
Dès la première Remembrance, Elden Ring Nightreign pose l’ambiance : on n’est pas là pour faire de la figuration.
Direction le Rond-Point du Jeu, là où le joueur doit échanger avec deux figures clés : la Duchesse et le Gardien. On est dans du classique FromSoftware : cryptique, mystérieux, et légèrement… flippant.
Après quelques dialogues bien pesés, on te balance direct dans la mêlée avec Gladius, Bête de la Nuit. Un boss long comme un jour sans loot légendaire, dans une expédition baptisée Tricephalos, autant dire que ça ne respire pas l’amitié. Une fois ce monstre au sol, on reçoit un fragment d’arme à rendre au Gardien, ce qui conclut la première plongée dans les souvenirs de Revenant.

Un manoir hanté, un banc qui fait flipper et un boss qui explose
Deuxième phase du traumatisme façon Elden Ring : le chapitre 5 du journal de Revenant s’ouvre comme une porte grinçante sur un film d’horreur.
La Duchesse revient mettre son grain de sel, et cette fois, on part rencontrer Recluse, un personnage à l’ambiance aussi sereine qu’un couloir de Blighttown. Il propose poliment de s’asseoir sur un banc. Et là, bim, immersion mentale directe dans les recoins pourris du passé de Revenant.
On se retrouve dans un manoir glauque, avec une vieille version de Revenant au bout du couloir. En s’approchant, surprise : boss fight contre Corrosion.
La particularité ?
Les ennemis peuvent se faire sauter la tronche, ce qui ajoute un parfum stratégique bien piquant. Une fois la Corrosion effacée du tableau, on interagit avec une poupée de Revenant (bien entendu flippante elle aussi), et on boucle cette Remembrance en se réveillant aux côtés de Recluse.
Retour au manoir en ruine : le boss final t’attend en mode toxique
La dernière étape monte encore d’un cran dans la déprime poétique. Le manoir est réduit en miettes, la tempête hurle et l’ambiance sent le wipe collectif. Cette fois, c’est le boss final, Contaminant, qui t’attend de pied ferme. Niveau 8, quatre pauvres fioles de soin, des armes en version ultra light et une IA qui ne veut pas jouer à cache-cache.
Pour tenir, il faut faire appel à Frederick, un allié OP qui fait une cible décente pour distraire le boss. Attention aux attaques de balayage et au vomi acide qui transforme le sol en terrain miné. Bien placé, bien coordonné, tu peux renverser le combat et terminer enfin l’arche de Revenant avec un vrai goût de victoire à la Sekiro. Press F pour le respect.
Du loot pas juste stylé, mais crucial pour la méta
Chaque souvenir ne te laisse pas qu’un trauma psychologique de plus, mais aussi des récompenses bien fat :
- Le premier souvenir te file un pinceau de maquillage miniature (oui, là tu parles à un jeu FromSoft), qui booste le team play et la récupération de runes
- Le second t’offre la Coupe du Revenant, une relique personnalisable
- Le troisième balance un vieux portrait, capable de soigner les alliés proches à condition de sacrifier ta propre barre de vie, avec en bonus une explosion spectrale quand tu claques ton art ultime
- Et bien sûr, une apparence alternative ultra dark de Revenant vient couronner le tout
En mode support, Revenant devient le boost ultime pour les expéditions les plus tendues. À la fois backbone silencieux et cauchemar ambulant, son histoire donne au gameplay une profondeur émotionnelle qui ferait pleurer même Malenia (bon, peut-être pas, mais vous avez saisi).
En clair : si vous jouez expé, Revenant, c’est GG garanti dans le setup.


